ClassicalNews - 25 juin 2023

À Toulon, un festival pour (re)décou vrir les compositrices d’hier et d’aujourd’hui

Nouvelle collaboration !

Concert du 18 février 2022

Triple concerto de Kelly-Marie Murphy à Radio France

Le Trio Sōra donne sa voix au Philharmonique de Radio France

Article complet ici

Triple Concerto de Kelly-Marie Murphy

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À propos du Triple Concerto de Kelly-Marie Murphy

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The Strad , par Tim Homfray 2 janvier 2021 "Juste à la fin du 250e anniversaire de Beethoven, le Trio Sōra a produit un beau coffret de l’intégrale de ses trios avec piano. Le groupe a une sonorité raffinée et douce, avec beaucoup de punch et de claquement quand c’est nécessaire, et rend justice à l’ampleur théâtrale des structures de Beethoven, en particulier dans les derniers trios. L’ensemble de l’ Opus 1 regorge d’une exubérance heureuse, en particulier dans les finales des deux premiers. Le drame grave est équilibré par l’insouciance lyrique en do mineur, avec quelques fortissimos qui font vraiment peur. L’interprétation puissante et vivante du Trio “Les Esprits” Opus 70 no.1 met en évidence le grand équilibre et l’interaction entre les musiciennes. Elles font preuve de beaucoup de brio dans le premier mouvement, avec à la fois des accents robustes et une beauté feutrée. Les mystères du Largo Assai s’ouvrent avec des cordes mortes, sans vibrato, et se déploient en un grand moment d’ émerveillement, que ce soit dans un sotto voce extrême ou un FF implacablement féroce, et le finale est d’une grande intensité. Les dialogues entre les musiciennes sont magnifiquement joués dans leur récit enjoué de l’ Opus 70 n°2 : elles font circuler les phrases du premier mouvement, et dans le troisième, il y a des passages de questions et réponses intenses entre les cordes et le piano. Le premier mouvement du Trio “Archiduc” Opus 97 est grandiose et fluide, avec des moments de “tutti” aux grosses ossatures. Le Scherzo est une danse joyeuse et musclée, le noble Andante cantabile est magnifiquement rythmé, et le final est empreint d’un humour malicieux. L’enregistrement est chaleureux dans une acoustique résonnante.”

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Écoutez le podacst de l'émission spéciale " France Musique sur son 21 ! " présentée par Judith Chaine & Jean-Baptiste Urbain émission enregistrée le 16 janvier 2021 au Studio 104 de la Maison de la Radio et de la Musique Les invités : Richard Galliano (accordéoniste) Le Trio Sōra : Clémence de Forceville (violon), Angèle Legasa (violoncelle), Pauline Chenais (piano). Programme : Fanny Mendelssohn, Trio avec piano - IV. ; Kelly-Marie Murphy, Give me Phoenix Wings To Fly Nicholas Angelich (pianiste) Les Cris de Paris : Anaël Ben Soussan, Marie Picaut & Michiko Takahashi (sopranos), et Geoffroy Jourdain (directeur musical) Geneviève Laurenceau (violoniste) Tanguy de Williencourt (pianiste) Axelle Fanyo (soprano) Le Quatuor Ardeo : Carole Petitdemange, Mi-sa Yang (violons), Yuko Hara (alto) & Joëlle Martinez (violoncelle) Romain Didier (chanteur) Florent Boffard (piano) Vincent Ségal (violoncelle), Sébastien Surel (violon) & Tomas Gubitsch (guitare)

Pour visionner l'entretien entre Anne-Sandrine Girolamo et les musiciennes du Trio Sōra, c'est par ici

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Concert au Théâtre du Châtelet

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Concert au Théâtre du Châtelet

Rondo Magazin Corina Kolbe, 26.12.2020 traduction française ci-dessous "Der runde Geburtstag eines großen Komponisten bringt meist auch einen ganzen Schwung von Einspielungen altbekannter Werke mit sich. Vor allem, wenn der Jubilar Ludwig van Beethoven heißt. Brandneue Aufnahmen derselben Stücke vergleichen zu können, kann durchaus reizvoll sein – zumal man zurzeit Corona-bedingt auch mehr Muße zum CD-Hören hat. Nicht nur Daniel Barenboim, sein Sohn Michael Barenboim und der Cellist Kian Soltani, sondern auch das französisch-lettische Trio Sōra haben sich die sechs Klaviertrios op. 1, op. 70 und op. 97 vorgenommen. Die Unterschiede zwischen den Interpretationen sind nicht zu überhören. Äußerst klangschön und geschmackvoll lassen die Barenboims und Soltani Beethovens den kecken Erstling op.1/I Es-Dur erklingen. Vater Barenboim scheint am Klavier jede einzelne Note genüsslich auszukosten. Dagegen gehen die Pianistin Pauline Chenais, die Geigerin Clémence de Forceville und die Cellistin Angèle Legasa dieses Stück auf ihrem Debütalbum mit jugendlichem Ungestüm an. Sie liefern eine forsche, frische Lesart des Allegro, die sich weniger auf den besonderen Augenblick konzentriert, dafür aber die Hörer unweigerlich mit sich reißt. Dass es hier nicht an Tiefgang fehlt, erkennt man gleich beim zweiten Satz, Adagio cantabile, der sich in berückend schönen Melodiebögen entfaltet. Den 1795 komponierten Stücken op. 1 folgen die 1808 entstandenen Trios op. 70/I und 70/II, darunter das stürmisch losbrechende „Geistertrio“, das seinen Namen dem Beethoven-Schüler Carl Czerny verdankt. Auf der Aufnahme mit Barenboim wird das „Erzherzog-Trio“ op. 97 von 1811 in der Reihenfolge vorgezogen. In seinem letzten Stück für diese Gattung entführt Beethoven die Zuhörer im Andante cantabile in eine Art Traumgefilde. In der Coda des Variationssatzes gerät die Melodie immer wieder ins Stocken. Daniel Barenboim und seinen Partnern gelingt es sehr eindrucksvoll, diese intensive, unwirkliche Stimmung greifbar zu machen. Auf ihrem Album findet sich außerdem ein Werk, das beim Trio Sōra nicht vorkommt: die von Ironie durchzogenen Klaviertrio-Variationen op. 121a, die Beethoven über Wenzel Müllers populären Gassenhauer „Ich bin der Schneider Kakadu“ schrieb." L'anniversaire d'un grand compositeur s'accompagne généralement de toute une série d'enregistrements d'œuvres connues. Surtout quand le garçon dont c'est l'anniversaire est Ludwig van Beethoven. Pouvoir comparer des enregistrements flambant neufs des mêmes morceaux peut être très intéressant - d'autant plus que, grâce au corona, on a actuellement beaucoup plus de temps pour écouter des CD. Daniel Barenboim, son fils Michael Barenboim et le violoncelliste Kian Soltani, mais aussi le Trio Sōra ont repris les six trios avec piano op. 1, op. 70 et op. 97. Il est impossible d'ignorer les différences entre les interprétations. Les Barenboïm et Soltani laissent résonner l’audacieux premier trio Opus 1 N°1 en mi bémol majeur de Beethoven avec goût, et une beauté de son certaine. Le père Barenboïm semble savourer chaque note au piano avec délectation. En revanche, la pianiste Pauline Chenais, la violoniste Clémence de Forceville et la violoncelliste Angèle Legasa abordent cette pièce sur leur premier album avec une impétuosité juvénile. Elles proposent une lecture audacieuse et fraîche de l'Allegro qui se concentre moins sur le moment spécial mais qui entraîne inévitablement les auditeurs. Le deuxième mouvement, Adagio cantabile, qui se déploie en arcs mélodiques d'une beauté ravissante, montre immédiatement qu'elles ne manquent pas de profondeur. Les pièces op. 1, composées en 1795, sont suivies des trios op. 70/I et 70/II, composés en 1808, dont le tumultueux "Trio Les Esprits", qui doit son nom à l'élève de Beethoven, Carl Czerny. Sur l'enregistrement avec Barenboïm, le "Trio A l' Archiduc" op. 97 de 1811 est le plus apprécié. Dans sa dernière pièce pour Trio avec piano, Beethoven transporte l'auditeur dans une sorte de royaume de rêve dans l'Andante cantabile. Dans la coda de ce mouvement de variations, la mélodie s'essouffle à plusieurs reprises. Daniel Barenboim et ses partenaires réussissent de façon impressionnante à rendre tangible cette ambiance intense et irréelle. Leur album comprend également une œuvre qui ne figure pas dans celui du Trio Sōra : les Variations en trio avec piano op. 121a, empreintes d'ironie, que Beethoven a écrites sur le populaire torchon "Ich bin der Schneider Kakadu" de Wenzel Müller.

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"Record companies often assemble starry soloists for renditions of Beethoven’s trios, but I find that specialist chamber groups often catch the mercurial interplay of the three voices more effectively. That’s certainly the case with these three young women, all new to me, who approach the Op 1 and Op 70 sets, and the crowning Archduke, with a freshness, vitality and, above all, wit that is entirely captivating. No Beethoven release has given me more pleasure this year ." The Sunday Times - Hugh Canning 29/11/2020 "Les maisons de disques rassemblent souvent des solistes étoilés pour des interprétations des trios de Beethoven, mais je trouve que les groupes de chambre spécialisés saisissent souvent plus efficacement l'interaction mercurielle des trois voix. C’est certainement le cas de ces trois jeunes femmes, toutes nouvelles pour moi, qui abordent les sets Op 1 et Op 70, et le couronnement de l’archiduc, avec une fraîcheur, une vitalité et surtout un esprit tout à fait captivant. Aucune sortie de Beethoven ne m'a fait plus plaisir cette année. "

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english bellow - Pour écouter : En pistes ! Emission du 13 novembre 2020, de 9h23 à 9h42 Par Rodolphe Bruneau - Boulmier & Emilie Munera To listen : En pistes ! November 13, 2020, from 9:23 am to 9:42 am By Rodolphe Bruneau - Boulmier & Emilie Munera

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Écoutez le podcast de la soirée exceptionnelle " I love Lodéon ! " présentée par Clément Rochefort émission enregistrée le 17 octobre 2020 en direct du Studio 104 de la Maison de la Radio

Le Trio Sōra s’est vu décerner, aux côtés de six jeunes musiciens et ensembles, une Borletti-Buitoni Trust Fellowship 2020. Accordés tous les deux ans, les prix du Borletti-Buitoni Trust — s’élevant à un montant de 30 000 livres pour les Awards et de 20 000 livres pour les Fellowships — sont remis à de jeunes artistes prometteurs pour les accompagner dans le développement de leur carrière musicale. Dans le cadre de ses actions, l'équipe du Borletti-Buitoni Trust offre depuis sa création conseils, encouragements, soutien pratique et financements pour aider ces jeunes lauréats à réaliser leurs ambitions de longue date. 
Le Trio Sōra rejoint ainsi la prestigieuse famille d’artistes du Borletti-Buitoni Trust, aux côtés notamment de Kathia Buniatishvili, Gautier Capuçon, Sol Gabetta, du Quatuor Ebène ou encore d’Antoine Tamestit. The Trio Sōra was awarded, along with dix young musicians and ensembles, a Borletti-Buitoni Trust Fellowship 2020. Awarded every two years, the Borletti-Buitoni Trust prizes — amounting to £30,000 for the Awards and £20,000 for the Fellowships — are given to promising young artists to accompany them in the development of their musical careers. As part of its actions, the Borletti-Buitoni Trust team has been offering advice, encouragement, practical support and funding since its creation to help these young winners achieve their long-standing ambitions. 
The Trio Sōra thus joins the prestigious family of the Borletti-Buitoni Trust, alongside artists such as Kathia Buniatishvili, Gautier Capuçon, Sol Gabetta, the Quatuor Ebène and Antoine Tamestit.

Solothurn Concert

Beethoven à la Cathédrale Américaine - Paris

Davos Festival

Concert Shaldon Festival