« L’esprit chambriste aura également triomphé grâce au jeune Trio Sōra, un trio avec piano, dont l’interprétation du Trio n° 2 op. 66 de Mendelssohn,fabuleuse d’intensité, d’élan et de plénitude, a légitimement recueilli les suffrages de l’auditoire.
[…] Enfin, on ne peut que mettre un accent particulier, au sein du Trio Sōra, sur Pauline Chenais, dont les grandes qualités ne s’exprimaient toutefois que dans l’intérêt de la musique et du dialogue avec ses partenaires. »